Marcelo Brodsky
à KOSMOS Zürich  

06.02 — 15.05.2018

Une exposition présentée par le CPG à l’occasion du cinquantenaire des mouvements de 1968.

 

Vernissage: 06.02.2018 18:00

Marcelo Brodsky


18:00 – Vernissage (Kinoallee Kosmos)

19:00 – Conversation avec Marcelo Brodsky (au club)

Entrée gratuite

https://kosmos.ch/

En collaboration avec  KOSMOS le CPG inaugure l’exposition « 1968 : El fuego de las ideas » dans l’allée des cinémas Kosmos à Zürich (angle Langstrasse/Europaalle).

À la suite du vernissage, Marcelo Brodsky s’entretiendra avec Joerg Bader, curateur de l’exposition, au sujet du travail de l’artiste. La conversation aura lieu en anglais

 

 

Né et vivant à Buenos Aires,le photogeraphe et activiste Marcelo Brodsky s’en prend avec son travail à l’oublie collectif et au atteintes au droits de l’homme. Le Point de départ pour son premier important travail qui avait trouvé une résonnance internationale était la série « Buena Memoria ». À partir d’une photo de classe, retrouvé à son retour de l’exil espagnol, que l’artiste annotait audesus de la tête de chacun de ses camérades, il rapportait la vie de ceux qui avaient survécu à la dictature militaire et ceux qui, comme son frère, avaient disparu pour toujours. Son travail vie de la tension entre écriture et image et propose ainsi une écriture alternatif de l’histoire officiel dans un contexte politique et artistique. Les œuvres de Marcel Brodsky se trouvent dans d’importantes collections public à travers le globe.

 

Marcelo Brodsky „1968 – El fuego de la ideas“

Tout le monde qui a vécu dans la deuxième partie du XXème siècle dans l’hémisphère occidentale a été marqué d’une manière ou d’une autre pour les événements de 1968, une année pendant laquelle la jeunesse a prit les rues et revendiqué plus de liberté. Au contraire des massmédias courants qui célèbrerons l’axe Prague-Berlin-Paris-Berkeley/Chicago, le travail de Marcelo Brodsky consiste aussi à monter que le monde entier était en ébulission, de Melbourne à Dakkar,de Rio de Janeiro à Pékin, de Belgrade à Dhaka. Que la jeunesse est aussi déscendu dans les rue à Tunis est un interessant lien vers aujourd’hui en 2018, mais aussi au printemps arabe, qui avait démarré dans en Tunésie et est ainsi un rappelle que les rébellions et manifestions vont bon train de Téhéran à Belo Horizonte, d’Istanbul au Caire. Pour la réalisation de la série « 1968 – El fuego de la ideas », Marcelo Brodsky a recherché plendant plusieurs années pour atteindre le nombre de 40 œuvres, et une de plus montrant les « Globus-Krawalle » de juin 1968 à Zurich, spécialement faites pour l’exposition zurichoise. C’est ainsi que l’artiste réalise avec un savant équilibre entre texte et image une narration complexe, basé sur des relations visuelles, des référence historique et des annotations.

 

Cette exposition a été réalisé par en collaboration KOSMOS par Joerg Bader, directeur du Centre de la photographie Genève. D’autres projets d’expositions au Kosmos sont en préparation.


Fiche d'artisteArtist file

Marcelo Brodsky * 1954 in Buenos Aires, lives in Buenos Aires et São Paulo

Marcelo Brodsky est un artiste et un activiste pour les droits humains basé aujourd’hui à Buenos Aires, après de nombreuses années d’exil à Barcelone. C’est pendant cet exil, dans les années 80, qu’il débute un travail photographique. En participant au grand mouvement artistique et populaire surgi en Argentine après la dictature, cet artiste a apporté sa contribution à la révélation de l’horreur du régime politique du général Videla qui avait pris le pouvoir à Bueno [...]

Marcelo Brodsky est un artiste et un activiste pour les droits humains basé aujourd’hui à Buenos Aires, après de nombreuses années d’exil à Barcelone. C’est pendant cet exil, dans les années 80, qu’il débute un travail photographique. En participant au grand mouvement artistique et populaire surgi en Argentine après la dictature, cet artiste a apporté sa contribution à la révélation de l’horreur du régime politique du général Videla qui avait pris le pouvoir à Buenos Aires en 1976. Ce travail de symbolisation réclamait justice et vérité sur les 30’000 disparus.

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